

Vase décoré de scènes bretonnes, 1886, Bruxelles, Musées royaux d'Art et d'Histoire. Pièce tournée par Ernest Chaplet et décorée par Gauguin qui se désintéressa de cette technique classique pour modeler à la main ses futures pièces. Pourtant, comme l'a remarqué Merete Bodelsen, le synthétisme de Gauguin, son langage futur, est déjà là en 1886. Mais il ne sut le voir.

I
Vase avec femme et chèvres, 1887, New York, Metropolitan Museum of Art.

Pichet, 1886-87, Paris, Musée des Arts décoratifs.

Pot décoré d'une figure de Bretonne, hiver 1886-87, Copenhague, Danske Kunstindustrimuseet (Musée des Arts décoratifs).

Vase en forme de fontaine, 1886-87, Paris, Musée d'Orsay.

Pot décoré d'une figure de femme sous un arbre, 1886-87, Paris, Musée d'Orsay.

Vase décoré d'une scène de pêche, 1886-87, Paris, Musée d'Orsay.

Petite jardinière, 1886, Collection particulière.

Gourde de pèlerinage, 1886-87, Quimper, Musée des Beaux-Arts.

Vase à deux embouchures, 1886-87, Paris, Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la ville de Paris.

Vase au visage de femme et aux fleurs, 1886-87, Sèvres, Musée national de la céramique.

Vase en forme de tête de Bretonne, 1886-87, Collection particulière. Cette pièce nettement inspirée de l'art mochica péruvien et conçue manifestement en fin de cette période créatrice (elle porte le n° 54), annonce la simplification du futur travail de Gauguin l'hiver suivant. Ce ne sont plus des vases décorés de figures, mais des sculptures dont on fait un vase.

Bretonnes causant, 1887, Münich, Neue Pinakothek.

Nature morte au profil de Laval, 1886, Indianapolis, Museum of Art.

Deux Baigneuses, 1887, Buenos Aires, Museo Nacional de Bellas Artes.